Let's Play Mass Effect - Ep 16 : Quand il y en a plus, il y en a encore !

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Ma liste d'affectations se réduit à vue d'œil, mais il y a encore beaucoup de secteurs à visiter. Il faudra également songer à se rendre sur Féros voir ce que les Geth y cherchent. Sur la carte il y a un système qui me rend curieux puisque je ne sais absolument rien dessus : Styx Thêta. Ca a beau n'être pas très loin en distance, mais avec les relais cosmodésiques, on a beaucoup plus vite à passer par la Nébuleuse de la Tête de Cheval. Allons voir ce qu'il y retourne.

Deux systèmes à visiter : Achéron et Erebus. Commençons par le premier pour des raisons d'ordre alphabétique. En arrivant, je tends l'oreille en attendant une transmission de l'inénarrable amiral Hackett mais… Rien du tout. Quatre planètes telluriques et une ceinture d'astéroïdes gravitent autour d'Achéron. Ou plutôt devrais-je dire cinq puisque Altahé et Ontahé forment une double planète dite Roche et partagent la même atmosphère. Altahé est d'ailleurs la seule que je peux visiter, ailleurs on ne trouve qu'un filon de minerai et un emblème turien, relique d'une bataille passée dans le champ d'astéroïdes.

Toujours aucun signal radio alors que je débarque sur la surface rocheuse, sableuse et fortement ventée d'Altahé. Qu'allons nous y découvrir ? Un piège tendu par les Geth ? Des pirates ? Une colonie de dévoreurs ? En tout cas, la première chose que l'on trouve c'est une sonde que l'on fouille grâce à Tali, toujours présente dans les visites de planètes pour cette raison précise. Un peu plus au sud on arrive vers une sorte de colonie de créatures souterraines. On s'approche tout doucement quand tout à coup surgissent lesdites créatures, des… Rachni ?!

Bon, ils ont beau ne pas faire le poids face aux canons du Mako, mais on avait pas tué leur toute dernière reine ?! Qu'est ce qu'ils foutent là ? Il y a encore une reine qui traine ? Heureusement qu'Ashley n'est pas avec nous, elle aurait sans doute pété un câble. Plus loin on découvre davantage de ruches rachni qui entourent un complexe souterrain de l'Alliance, qui révèlera sans doute ce qui s'est passé sur cette planète. Une barrière d'énergie peu après l'entrée nous indique une potentielle mise en quarantaine. Après s'être débarrassé des quelques rachnis qui infestaient la base (visiblement, ils préféraient leurs tunnels), et récupéré le matériel et l'arsenal qui y a été laissé, nous tombons sur un appel de détresse de la lieutenant Durand, comme quoi il y aurait une histoire de ravitaillement qui serait à l'origine de l'infestation, en provenance du système Gorgone. Ce n'est pourtant pas le système de Novéria, je n'y comprend rien, et je ne vois pas de système Gorgone sur la carte du Normandy. Bon, allons retrouver cette lieutenant dans le système Erebos pour tenter d'y comprendre quelque chose.

Alors ici il y a probablement une petite imperfection dans le déroulement scénaristique inter-système qui ne prévoyait pas qu'on pouvait se pointer en touriste dans le mauvais système à errer sans but en Mako jusqu'à entrer dans la base souterraine, c'est seulement à ce moment là qu'une entrée dans le journal est faite. Personnellement, ça ne me dérange pas, j'adore l'exploration et atterrir sur une planète sans savoir sur quoi je vais tomber, et j'étais en mode WTF lorsque j'ai vu des Rachni apparaitre de nulle part. Là ou ça devient embêtant en revanche, c'est quand le terminal dirige le joueur vers un système introuvable sur la carte du jeu, alors qu'il aurait pu indiquer à la place d'aller trouver l'envoyeur du S.O.S. qui se trouverait juste à côté. Bon, il en faut plus pour me troubler mais petit bug de séquençage du journal qui n'a visiblement jamais été patché.

A noter également que les attaques toxiques des Rachni ignorent complètement les boucliers, que ça soit ceux du Mako ou des armures. Mais je n'ai pas eu de problème particulier en restant à distance de façon à esquiver facilement leurs crachats. Quant au combat à l'intérieur, il était beaucoup plus simple que beaucoup de combats contre les Rachni du pic n°15, mais il faut rappeler qu'à ce moment là, je n'étais que dans les niveaux 15 avec des équipements tier II ou III. Là, au niveau 37-38 bardé de tier VII, ce n'est plus la même histoire.

Cap sur le système Erebus, composé de deux planètes telluriques et une ceinture d'astéroïdes proches de leur étoile, et deux gazeuses à ses confins. Les seules informations connues jusqu'ici proviennent du vaisseau d'exploration Ibn Battuta qui avait certaines conclusions pour le moins farfelues et non corroborées avec les scanners du Normandy. Pour aller imaginer des formes de vie à mille kilomètres sous les nuages d'une gazeuse ou des formes géométriques dans les déserts, l'équipage de ce vaisseau a du embarquer quelques bouteilles d'alcool en douce… Malgré l'hostilité du secteur Styx Thêta, en raison de sa proximité de l'anneau moléculaire galactique, il est possible d'explorer la planète la plus proche de l'étoile, Nepmos. Après avoir trouvé un disque protéen et du minerai, nous débarquons dessus. Je me demande comment le lieutenant s'est retrouvé ici, si elle y est.

Et nous arrivons en Mako sur une planète volcanique instable censée regorger de minerais rares et précieux, ce qui ne sera évidemment pas le cas comme sur la planète Metgos avec seulement deux gisements analysés. Il faudrait mettre à jour les banques de données du Normandy un jour. En explorant les environs, on tombe sur un médaillon galarien sur les restes d'un mineur ainsi que le campement dont il semblait provenir, complètement vide. L'explication est toute trouvée : sur le passage on trouve quelques ruches rachni qui ne font pas le poids face au canon du Mako. Décidément, ce secteur a subi une invasion ! Au sud nous trouvons une mine verrouillée et le campement du lieutenant Durand, Marie de son prénom, en plein assaut rachni. Pas de temps à perdre : le Mako branché sur la batterie pour alimenter les tourelles de défense, nous lui prêtons main forte pendant une petite dizaine de minutes en restant à couvert pendant que les canons font une bonne partie du sale boulot.

Elle nous remercie et nous indique que la mine fermée regorge de Rachni et que ça serait cool qu'on aille la nettoyer, sans nous y obliger. Tant qu'on est dans le coin, autant y aller, non ? Au départ, j'aurais pu complètement ignorer le secteur Styx Thêta que je n'en saurais rien de cette invasion rachni. En tout cas, rien à voir avec la base souterraine soi-disant infestée d'Althahé, ce n'est pas moins d'une vingtaine de soldats rachnis qui déboulent de leurs terriers, comme à l'extérieur. Les deux derniers tunnels abritent chacun un redoutable guerrier de ruche qui disposent de pouvoirs biotiques en plus d'une grosse carapace résistante. La mine est désormais nettoyée mais toujours pas trace d'une reine. En tout cas j'espère que pour la lieutenant Durand qu'il n'y aura plus un seul rachni sur la surface de cette planète très bientôt. Ce n'est pas comme si en l'état, elle était déjà suffisamment hostile.

Mais il est grand temps de découvrir ce qui se cache derrière cette infestation : direction le système Gorgone, non loin de ma future maison de retraite.

Ce système est de loin le plus imposant que je n'ai jamais vu : Gorgone est une géante bleue et sa planète la plus proche est à 76 unités astronomiques, c'est une fournaise intenable à 1100 degrés en surface. Tel la créature mythologique, ses planètes telluriques fixent Gorgone en orbite synchrone, comme pétrifiées par son regard. Aucune ressource ou artefact à récupérer, mais c'est du dépot Sigma-23 que seraient partis ces Rachni. M'attendant à en affronter en combat rapproché, ça sera Ashley et Wrex qui m'accompagneront.

Nous nous attendions à un combat long et difficile mais il n'en est rien : il n'y a que deux soldats et quelques larves à bord dans un hangar labyrinthique. J'invite Tali et Kaidan à leur place une fois le sale boulot fait pour décrypter les containers pour récupérer ce qu'il y a à prendre, et pour cause, nous tombons devant l'ordinateur de bord et nous découvrons que c'est Cerberus qui est derrière cette invasion rachni. Ils les ont acheté à Novéria et les ont lâchés sur des planètes juste pour voir ce qui se passe. Mais bien évidemment, l'expérience a mal tourné et les responsables ont ordonné l'évacuation et l'autodestruction de la station, sauf que tout le monde a bord s'est fait massacré par les rachni.

Et qui va se taper le sale boulot maintenant, c'est Bibi ! La bombe est réglée à 1 minutes 10 et ne peut pas être modifiée : il va falloir sprinter ! Notre course sera entrecoupée de rachnis paniqués qui ne veulent pas disparaitre sans faire couler de sang humain, mais nous parvenons au Normandy et de nous éloigner dans la dernière dizaine de secondes imparties. Un de ces quatre, il va falloir donner une bonne leçon à Cerberus, vu le foutoir qu'ils ont semé aux quatre coins de la galaxie.

Une fois n'est pas coutume, c'était une mini-hub de quêtes secondaires que l'on vient de terminer en trois parties, même si l'ordre des 2 premières parties est un peu chaotique. J'admets avoir été surpris de revoir des Rachni que j'avais exterminé sur Novéria, a me dire que le côté monde qui s'adapte tombe un peu à l'eau, mais au final, rien n'empêchait Twin Helix à refourguer ses Rachnis au plus offrant, surtout s'ils ont une reine sous la main qui peut en pondre à l'infini. Le côté labyrinthique du hangar de Sigma-23 m'a pas mal rappelé certaines maps de Doom II qui poussaient à fond le concept avec des empilements improbables de caisses.

Ah, et petit clin d'œil chauvin à la lieutenant Marie Durand qui a le nom le plus français que j'ai vu en jeu. D'ailleurs, au passage, les origines des noms des humains en jeu sont très variées.

Mais plus généralement, je n'ai vraiment pas été impressionné par le côté monde qui s'adapte aux choix de Shepard jusqu'ici. Autant il y a souvent plusieurs façons de résoudre ou non un conflit, de chemins pour réaliser les missions, autant sur l'impact du monde extérieur, il n'y a rien qui a particulièrement sauté aux yeux. Bon évidemment, je n'ai pas recroisé les gens que Shepard a choisi de tuer comme Fist ou Helena Blake, mais je me serais au moins attendu à voir l'Antre de Choras fermer. Peut-être qu'on m'a survendu la chose quand j'ai discuté du jeu avant de le commencer, mais je reste sur ma faim. Peut-être dans les volets suivants ?

Etant donné que notre prochaine destination sera le système Attique Bêta, où se trouve Féros, nous décidons d'aller effectuer un arrêt ravitaillement d'équipement à la Citadelle, particulièrement pour récupérer des mods d'armes à rajouter sur celles que l'on a récupéré sur Sigma-23 et sur les planètes de Styx Thêta. Mission infructueuse puisqu'on en a pas trouvé un seul, mais on aura tout de même récupéré un bon nombre de licences pour l'intendant du Normandy ainsi que de quoi porter davantage de grenades, même si je ne m'en suis quasiment jamais servi. De toutes façons, j'ai tellement de crédits à ne plus savoir quoi faire…

Attique Bêta comprend deux systèmes visitables, allons rapidement faire un tour autour de l'étoile Hercule, où gravitent quatre planètes. Je sursaute presque en entendant une transmission de l'amiral Hackett dont j'ai failli oublier l'existence. Il nous apprend qu'une sonde qui espionnait les mouvements Geth dans la région a été perdue dans le système Hercule et qu'il faut aller la récupérer avant qu'ils mettent la main dessus. Parce que c'est bien beau de faire le tour de la galaxie mais le danger principal du moment, c'est bien les Geth ! Eh bien allons y !

Le système Hercule en lui même est classique : trois planètes telluriques et la dernière qui est une gazeuse géante. Les deux premières sont bien trop proches de leur étoile même s'il peut y avoir de la vie souterraine dessus, mais la troisième, Elétania, est semblable en tout point à la Terre, avec oxygène, mousse, algues et compagnie… Sauf que voilà : 

Il s'avère que l'air est toxique à tout organisme qui n'est pas originaire de la planète, ce qui demande de porter des combinaisons étanches pour l'explorer. Peu étonnant qu'elle soit rayée de la carte des planètes colonisables par l'humanité. Mais c'est ici que la sonde s'est écrasée vraisemblablement, alors allons y, accompagné de Wrex et Tali qui, en plus de son expertise en réparation de vieilles sondes, saura très utile étant donné qu'on ira certainement combattre des Geth. Sans oublier les mods de munition en tungstène ! 

On se retrouve dans un environnement très similaire à Ontarom sauf qu'en lieu et place des vaches aux bras de kangourou, ce sont des sortes de singes primitifs que nous rencontrons comme forme de vie, regroupés en plusieurs colonies à travers la surface. Avec un peu de chance, dans une centaine de milliers d'années, peut-être évolueront-ils en une civilisation concilienne ? Mais il est possible que leur évolution aille un peu plus vite parce qu'ils ont récupéré le disque de données sur la sonde écrasée.

On dirait les gremlins de Kaladesh dans Magic ?

Et c'est parti pour la tournée des colonies de singes à essayer de baragouiner quelque chose pour leur faire comprendre qu'on a besoin du truc qu'ils ont trouvé. Aucun Geth à l'horizon. Mes recherches me mènent vers une caverne remplie de singes et forcément, il fallait que ça soit le singe le plus au fond d'un couloir qui l'ait. Voilà voilà, mission accomplie, on analyse les filons et on se casse ? Eh merde, les Geth m'ont suivi et ont investi la grotte pour me cueillir. Et ils sont venus avec une belle troupe dites donc : destroyers, snipers, soldats d'élite, lanceurs de roquettes, tout le monde est là ! Mais il en faut plus pour me déstabiliser désormais et on sort sans encombre.

Mais cette planète n'est pas ordinaire et dispose d'une curiosité remarquable : une sorte de ruine prothéenne avec une sorte de sphère métallique. Enfin une utilité à tous les disques que je collecte ? Pas tout à fait, il y a une forme irrégulière sur la surface de la relique qui me fait vaguement penser à un objet que je garde sur moi depuis des mois maintenant : le bijou que m'a confié la favorite asari à la Citadelle.

Instinctivement je le sors d'une poche et l'insère dans son emplacement dans la sphère et là, un gros flash lumineux m'entraine dans la peau d'un homme de Cro-Magnon avec un fichu mal de tête en train de pourchasser une espèce d'oiseau argenté qui disparait mystérieusement. Je retourne dans sa grotte avec mes congénères, et les jours, les semaines, et les mois passent et se ressemblent : chasse, disputes de clan, guerres de tribus passent et passent avec une sensation étrange d'être surveillé. Les jours froids arrivent, et le besoin de fourrure se fait ressentir. L'oiseau d'argent ressurgit et un rayon rouge m'emporte à nouveau dans l'obscurité… Je rouvre les yeux et je vois en gros plan la tête de Wrex en train de m'observer. L'air troublé, je me relève en assurant que tout va bien, et j'ordonne à Joker de venir nous chercher à bord du Normandy. Il va me falloir un peu de repos pour me requinquer et me préparer à une longue mission sur Féros.

Comment une relique à l'autre bout de la galaxie peut détenir les observations des sondes prothéennes de la Terre il y a une centaine de milliers d'années ? A moins que ça soit ce mystérieux bijou de la favorite ? Quelles conclusions ont-ils bien pu avoir après des mois d'observations des premiers balbutiements de l'Humanité ?

Chipeur, c'est un renard, pas un singe !

En vrai, avec les couleurs vives du ciel et du sol d'Elétania, Dora l'exploratrice et ses amis n'auraient même pas fait tâche. Cette mission était simpliste mais fort intéressante puisqu'elle demandait d'interagir (c'est un grand mot) avec des formes de vie primitives. De façon totalement fortuite d'ailleurs, j'ai gagné un bon paquet de points de conciliation en récupérant le disque de données, je suppose que j'aurais pu massacrer les singes à la mitrailleuse pour avoir des points de pragmatisme - pardon, il faut faire preuve de pragmatisme pour ça ?

Et cet artefact prothéen était la belle surprise qui brise enfin la monotonie des planètes qui structurellement se ressemblent toutes. Bon, on ne va pas s'enjailler pour un récit textuel raconté sur 3 fenêtres pop-up non plus, mais c'était assez troublant et révèle que oui, les prothéens connaissaient la Terre. Et probablement aussi les turiens, asari, galariens, quariens et autres qui devaient également être dans un état primitif avant qu'ils ne se soient éteints. Rien dans le codex du jeu ne l'indique dans la chronologie mais il est peu probable que les civilisations actuelles ont connu les prothéens avant leur extinction, sinon ça ne serait pas si mystérieux, et puis Liara ne se casserait pas le cul à faire des projections sur ses fouilles archéologiques, qui remontent à des évènements qui se sont déroulés à "seulement" 50 générations asaris. En tout cas, on retiendra que ce passage aura été possible grâce à une conquête de Shepard. On se demande combien de conquêtes le chasseur de Cro-Magnon qu'il a incarné aura fait au cours des quelques mois de surveillance…

Et on va finir cet épisode court à jouer mais intense en contenu avec le point fiche de personnage après 38h20 de jeu :

Les rachnis, ça donne plein de points d'expérience mine que rien, ce qui fait qu'on a passé une nouvelle dizaine en termes de niveau. Les succès arrivent au 50 et au 60, allez, encore un effort ! J'ai placé à nouveau un point en armures pour chercher la recharge de bouclier améliorée. Même si je ne m'en sers pas souvent, un point est un point, autant en tirer meilleur parti de chacun.

Les boucliers étant une des 3 caractéristiques des armures : celle que Shepard porte est une Phoenix VIII ramassée il y a peu avec 44 de résistance, 182 en boucliers et 14 en protection contre les attaques biotiques et technologiques. Ces statistiques ne sont pas très bien expliquées en jeu, mais on peut déduire que, dans l'ordre, on a la classe d'armure, de l'absorption de dégâts sous forme de points de vie temporaires, et une chance de résister partiellement ou totalement aux capacités technologiques et biotiques offensives comme la surcharge ou la déchirure.

La compétence permet donc de restaurer 80% des boucliers en 2 secondes. Evidemment, si la valeur de bouclier de l'armure est faible, autant dire que cette capacité ne sert pas à grand chose. Et pour finir, à partir du tier VII et au delà, les armes et les armures ont 2 emplacement de mods et les armes. On ne peut cependant avoir qu'un type de mod de munitions. Et, comme la narration le dit, je suis tellement en galère de mod d'arme que je continue d'utiliser les vieux mods tier II ou III du début du jeu et qui sont meilleurs que certaines catégories même au tier V ou VI. Mais ça, j'en reparlerai dans un autre épisode !

Prenez bien soin de vous et à bientôt en stream et/ou pour le prochain épisode !