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Desperate Ravings

Let's Play Mass Effect 2 - Introduction

 

Bienvenue dans ce nouveau Let's Play qui va retracer la suite des aventures de Jack Shepard dans le second opus de la série de Mass Effect ! Pour cette suite, l'introduction sera bien différente de celle du premier opus, puisqu'on va expédier de suite les questions de type "pourquoi ce jeu ?", à laquelle je répondrais simplement "parce que c'est la suite d'un jeu que j'ai graffe kiffé !". On va donc se "contenter" de rappeler l'historique des évènements et des choix effectués lors du premier épisode et une petite lecture de la liste longue comme m... euh, mon bras, de contenu téléchargeable parce que voilà, 2 ans après le rachat de BioWare par Electronic Arts, ça laisse des traces.

 

 

L'histoire à ce jour

 

Ca sonne moins bien que the story so far, mais on va limiter les anglicismes. Pour approfondir on pourra se référer à la conclusion du précédent let's play, ou à ma session barbecue avec Anderson et Hackett en stream, mais je vais résumer rapidos le premier opus.

 

Alors tout commence dans une mission de routine sur le Normandy, dernier bijou de technologie humano-turienne, au cours d'une mission de routine près de la colonie d'Eden Prime. Sauf qu'elle se fait attaquer par des Geth pour récupérer la balise prothéenne qui y a été découverte. Un témoin a vu un spectre renégat dénommé Saren mener l'attaque repoussée par Shepard, mais il aura fallu retourner la Citadelle sans dessus dessous pour convaincre le Conseil de sa culpabilité. Shepard est alors nommé Spectre (une première pour l'humanité) pour poursuivre Saren et le traduire devant la justice.

 

Et c'est parti pour traverser la galaxie dans tous les sens dans l'espace concilien jusqu'au voile de Persée près des Geth et aux systèmes Terminus en guerre civile permanente. Après d'être débarrassée de la matriarche Bénézia tombée sous la coupe de Saren ainsi que de qu'il restait des Rachni à Novéria, on libère Liara T'soni sur Thérum qui va nous aider à y voir plus clair sur les technologies prothéennes et ce que cherche à faire Saren avec. Après avoir récupéré une nouvelle pièce du puzzle, l'Enigma, de la part du Thorien peu coopératif sur Féros et sauvé au passage la colonie humaine de son influence, nous arrivons sur la planète Virmire où Saren projette de construire une armée de krogans libérés du génophage. On a failli perdre un allié de poids, Wrex, mais on l'a convaincu que Saren était un mal bien plus important.

 

Mais au final, le centre de recherche de Virmire était en réalité dédié à l'étude de l'endoctrinement de Sovereign, qui n'est non pas le vaisseau de Saren mais un Moissonneur en personne qui l'a endoctriné, et qui a pour projet de déclencher une nouvelle invasion similaire à celle qui a mené à la disparition des Prothéens. Shepard tente de le raisonner au cours d'une confrontation, mais en vain. De retour à la Citadelle, le conseil refuse de croire à la menace des Moissonneurs et cloue au sol le Normandy avec la complicité du diplomate Udina.

 

Heureusement, le capitaine Anderson nous permet de partir sur Ilos pour trouver le Canal avant que Saren mette la main dessus. Ilos était un centre de recherche prothéen qui a réussi à percer le secret de la citadelle et des relais cosmodésiques qui seraient des créations des Moissonneurs, et ont réussi à créer le Canal qui est un mini relais menant directement à la Citadelle, qui se fait attaquer au même moment par toute une flotille Geth menée par Sovereign. On arrive juste à temps pour arrêter Saren qui s'est donné la mort face à notre force de persuasion. Reste Sovereign à abattre, qui ne tiendra pas le coup entre l'attaque de la flotte de l'Alliance et le Saren synthétique qu'il reconstitue de ses restes. Mais les pertes sont lourdes : le conseil actuel n'est plus, et sera remplacé par un nouveau avec le capitaine Anderson à sa tête, président nommé sur les conseils de Shepard.

 

 

Le numéro deux

 

On le savait déjà, Mass Effect a été développé dès de départ pour être une trilogie. Le second opus, contrairement au premier qui a eu 6 mois d'exclusivité sur XBox, est sorti en simultané sur PC et consoles XBox 360 en janvier 2010, soit 2 ans après le premier, et l'année suivante sur PlayStation 3. Le moins qu'on puisse dire, c'est qu'ils n'ont pas chômé, et la hype était au rendez vous : acclamé par les critiques et 500'000 copies vendues le premier jour rien qu'en Amérique du Nord et sur XBox360 le premier jour de sa sortie. Enfin, on peut imaginer qu'ils avaient déjà posé les bases de la trilogie dès le départ, et que pour produire le second épisode, il n'y avait plus qu'à.

 

Après voilà, le rachat de BioWare par Electronic Arts est entériné, et la série Mass Effect est touchée par la dernière mode en termes de monétisation des jeux vidéos : les fameux DLC, ou Date Limite de Consommation DownLoadable Content. Ce sont des micro-extensions en one-shot qui ajoutent un peu de contenu jouable mais aussi des nouvelles armes, arcs, skins et compagnie. Fort heureusement, j'ai pu acquérir l'intégralité des DLC de Mass Effect 2 pour la modique somme de 9,99€. Avant de lancer le jeu, allons décortiquer tout ce qu'ils nous proposent.

 

Jetez donc un œil à cette barre de défilement à gauche…

 

 

Du contenu, plein de contenu !

 

Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas tout détailler un par un les 27 (vingt-sept) DLC d'autant plus que je ne sais pas à quoi tout correspond sans avoir lancé le jeu, mais la plupart sont regroupés en packs (Fakir, Cerberus…) donc il devrait y en avoir moins au total. Mais on peut d'ores et déjà regrouper les DLC par type :

  • Le contenu jouable : à l'instar des 2 DLC du premier Mass Effect, ils devraient proposer de nouveaux systèmes, planètes à visiter et missions secondaires. Pour des raisons évidentes de no spoil je ne rentrerai pas dans les détails, juste qu'il y en a en tout et pour tout 5.
  • Les objets d'équipement : armes, armures et casques. De loin le type de DLC le plus répandu, mais aussi celui qui me fait poser le plus de questions : comment est-ce qu'on est supposé les obtenir, les utiliser ? Est-ce qu'il faut les débloquer en jeu d'une quelconque façon ?Est-ce qu'ils sont supérieurs à ceux qu'on trouve en jeu ? D'autant que la plupart donnent des caractéristiques supplémentaires type +5% dégâts ou +5% à la puissance des boucliers… J'espère juste que ce ne dont pas des objets qui simplifient le jeu.
  • Les goodies : tels les bonus collector d'un film en BluRay, on y retrouve la bande son originale qui viendront égayer les prochains streams, le making-of du jeu sous forme de documentaire qu'on regardera probablement à la fin du Let's Play, et des ArtBooks avec plein de jolis petits dessins. Pour qu'ils illustrent le blog par contre, il faudra attendre un peu, je n'y jetterai pas un coup d'œil avant d'avoir presque fini le jeu pour ne pas me spoiler bêtement.
  • Les skins : on trouve également deux packs de skins pour les équipiers de Shepard. Rien de plus à ajouter si ce n'est qu'on verra ce que ça donne en jeu.
  • Genesis : j'ai gardé le meilleur pour la fin. Il s'agit d'une bande dessinée narrative et interactive qui résume l'histoire du premier Mass Effect et des choix faits lors du playthrough sous forme de BD dessinée par Dark Horse Comics. L'idée est juste géniale, et sous forme de comics ça doit bien rendre ! Je suis impatient !

 

Et pour finir cette introduction sans transition, j'aimerais exprimer un petit coup de gueule. Rien de bien méchant mais c'était assez embêtant : la procédure d'import de la sauvegarde de Mass Effect 1 dans le 2. J'ai pris une petite demi heure pour comprendre comment ça marche. A priori l'outil d'import ne fonctionne plus depuis la migration de l'écosystème EA sur le launcher Origin mais j'ai fini par m'en sortir en faisant du copier coller manuel dans l'explorateur Windows. 

 

Le fameux utilitaire en question.

 

 

Voilà pour l'introduction de ce second opus ! Nous reprendrons la narration du Let's Play là ou elle s'est arrêtée directement au premier épisode. A très bientôt donc sur le stream et/ou dans les prochaines parties, et comme toujours, prenez grand soin de vous !

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